C'est probablement parce que j'ai la chance d'être à l'abri quand elles se déchaînent que j'en vois seulement les bons cotés… mais j'adore les tempêtes.
Voici celle d'hier soir, de notre fenêtre parisienne.
Ces temps-ci, si elle trainait du côté du 19ème arrondissement, Nadine de Rodschild se retournerait prématurément dans sa tombe. Je fais un blocage sur ça. Dans mon casque, dans le métro, au boulot, je réécoute ça en boucle, et même, parfois, tel un ado boutonneux qui refuserait d'aller ENCORE chez tata Michelle, je le hurle. Alors probablement que ça va vite me passer, mais en attendant :